Instant sur terre
Le chemin sinueux reprend la texture et les matériaux présents le long des cours d’eau et de la rivière : les surfaces polies et les strates des schistes ardoisiers, les langues de sable et de galets, les lits d’argile et la terre nourricière...
Il évoque également les graphismes, les motifs universels que l’on retrouve chez les premières nations, dans les arts premiers.
L’évocation de l’abri, la hutte, la cabane, le pavillon, la folie, voire la cellule de l’ermite est pour nous rappeler que de tout temps, l’homme a besoin de se retrouver dans un espace intime, un espace protecteur afin de se laisser aller à la rêverie, au contemplatif.